15 mars 2009
Les yeux bandé Le monde telle une toupie sans
Les yeux bandé
Le monde telle une toupie sans jamais s'arrêter
Mais je reste sur le cul, de se mon monde qui m'as enfanté
Si je pouvais l'étripé
Et de la toile d'intestin faire les festivités mortuaires
Que la faucheuse m'emporte vers les abysses
Pour pardonner mes pêchers pour l'éternité
L'éternité pour ne pas me réincarner
Ne plus revivre les courroux de la vie. J'aurais voulus voir d'autre cieux
Les miroirs reflet qui je suis, je suis moi
Moi je me haie de ne pas comprendre cette brume mouvante
Cette brume m'encercle, je veux m'enfuir
Ne plus revivre les courroux de la vie
Toucher encore une fois du bout des doigts la vie
Vie d'irréalité de rêve éveille
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