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Les yeux bandé
Le monde telle une toupie sans jamais s'arrêter
Mais je reste sur le cul, de se mon monde qui m'as enfanté
Si je pouvais l'étripé
Et de la toile d'intestin faire les festivités mortuaires
Que la faucheuse m'emporte vers les abysses
Pour pardonner mes pêchers pour l'éternité
L'éternité pour ne pas me réincarner
Ne plus revivre les courroux de la vie. J'aurais voulus voir d'autre cieux
Les miroirs reflet qui je suis, je suis moi
Moi je me haie de ne pas comprendre cette brume mouvante
Cette brume m'encercle, je veux m'enfuir
Ne plus revivre les courroux de la vie
Toucher encore une fois du bout des doigts la vie
Vie d'irréalité de rêve éveille
Voici le début d'un roman que je fait.
Dans l'ombre de la nuit, les accoue de la pendule se balancer sous les 12 coups de minuit, pour réveiller dans ce silence les âmes occultes. Vampire qui vont s'abreuver de votre liqueur rouge sang, les loups-garous hulule sous une lune pleine, la pleine lune. Tous vos phantasmes les plus imaginables se réalise, sous ces belles nuits d'hivers. Le charme est telle quelle vous glace les doigts, mais vous réchauffez le coeur et les clefs de l'esprit. Ces mots "J'ai un copain", quant à eux vous glace tout entier, vos phantasmes fond comme vampire à l'aube, les délire apocalyptiquement mélancolique s'enflamme. Mes lèvres brûlent de mille braise et l'envie de m'exorciser de tous mon être cette infâme peste. Sortant de mon antre, je me faufilais avec mes cousiné de chat, j'allais telle un fauve sur ça proie à la cuisine
Vent volant
Derrière que son ombre
Se contre balance formant un lit de lame
Sa fourberie transperçante
Mes battements s'accélère
Mes membres s'engourdisse
Ma voix grasse
Explose pour naître une haine frétille
Vent contre vent
Parole sonnant sonne vide
Regard se tournant vers un horizon lointain
Battement, sans battement
Le néant m'embrasse à bras grand ouvert
Laissant mourir, encore une fois
Renaître du néant
Renaître sous le signe d'une pleine lune
Insoluble solution, ne peut
Vent de son égaux
Prend tout, moi
Jadis, aujourd'hui
Lune au premier croissant, m'emplie de frétillements
Lune, oh lune, Pleine lune
Me fait t'adorer, t'aimer
Tantôt rose rouge remplie de mille d'élact de pleure
Tantot rose noir de la rosé des larmes
Lune peureuse, ce terre dans les abîme de l'arrogance et de l'égotisme
Tu t'efface pour devenir dernier croissant
Lune, mon étoile du berger, tu n'est plus
La nuit total m'envahie
De moi ne s'épanouies que les milles et une perle de cristal
Les yeux fermé, rêve de mille délire de monde d'apocalypse
La rose se fane, se meure
Dans le silence de la vie
Une brise de vent, me caressant
De ça force, la lune timide
Renais, mais cette fois ci habiter de vie
Pour faire apparaître tout un champs de rose
Lune, oh lune
Ne voie tu ce champs?
Tu est loin, mais si proche
Mon espoir... mon obsession de l'inconnu
Ne font oublier ne le passé
Quel sera notre future?
Tu l'as regarde
Phantasme
Vagabond aveugle
Moi je te dit c'est une catin
Détruit là avant quelle te détruit
Tus cette salope des sentiments
Ne regarde pas en arrière
Ne succombe pas
Enfuis tant qu'il est encore temps
Elle t'envoûtera, elle te possédera
Tu vend ton âme
Moi je te dit c'est une catin
Détruit là avant quelle te détruit
Tus cette salope des sentiments
Ne regarde pas en arrière
Elle, les coeurs de plumes
Elle, dévore au désert
Après t'avoir aspirer le sang
Jusqu'au souffle de la mort
Moi je te dit c'est une catin
Détruit là avant quelle te détruit
Tus cette salope des sentiments
Ne regarde pas en arrière
Elle t'aime pas
Tu est son chat, son animal
Elle aime les coeurs épris de haine
Pas toi
Moi je te dit c'est une catin
Détruit là avant quelle te détruit
Tus cette salope des sentiments
Ne regarde pas en arrière
Vide tu mourra
Te laissera seul
Ce n'est pas ta guérisseuse
Mais démons
Ne regarde pas en arrière
Vagabond mort vivant...